L'histoire nous plonge dès le début dans "l'après vie", à savoir qu'André, un médecin, meurt, et nous allons le suivre, ou du moins son âme, dans les mondes subtils ; d'abord perdu dans une zone qui ressemble au purgatoire, il fini par s'ouvrir et demander de l'aide ; à ce moments des personnes lumineuses viennent le chercher, et il accède à "Nosso Lar", notre demeure.
Ses valeurs en seront bouleversées. Il découvrira que les soins du corps ne sont rien sans les soins de l'esprit, que la réalité est subtile, et notre monde terrestre n'en est que l'illusion, que l'imagination précède les actions, et le sens du mot aimer. Nous sommes loin d'une quelconque oeuvre de bon sentiment, mais bien dans un propos philosophique majeur, où l'amour se comprend dans le sens fort, de la compassion, la patience, et la logique d'un certain destin que l'on se construit pas à pas.
Servi par une magnifique musique de Philip Glass, on sort grandi de ce voyage spirituel qui ouvre l'esprit à 360 °. A voir et revoir .
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